C’était un après-midi pluvieux d’automne, j’avais fini les cours à la fac à 16 heures et je rentrais chez moi. À l’époque j’habitais encore chez mes parents. Arrivé devant la porte, je constatai que j’avais (encore) oublié mes clés. Complètement trempé devant la porte d’entrée, pestant contre moi-même, j’entendis la portière d’une voiture claquer. Je jetai un œil et vit la voisine qui rentrait du travail. Elle me vit et m’adressa un grand sourire :
“Eh bien mon grand, tu es enfermé dehors ?”
Je n’aimais pas spécialement qu’on m’appelle “mon grand” et je n’avais jamais vraiment sympathisé avec cette nouvelle voisine arrivée pendant l’été. Une femme d’une petite quarantaine d’années, plutôt jolie. Elle et son mari ont emménagé juste avant la rentrée. Je grommelai un “mouais” peu convaincu, ce qui la fit éclater de rire. Ma mine peu réjouie fit place à un sourire timide. Puis elle dit, le plus naturellement du monde :
“Si tu veux attendre tes parents à la maison, n’hésite pas à sonner !”
Et elle disparut de mon champ de vue.
Je fus un peu pris de court. La proposition était tentante car la pluie tombait dru mais j’avais toujours été un grand timide. Après dix minutes à grelotter devant la porte fermée, je pris mon courage à deux mains et allai sonner chez la voisine. Elle ouvrit presque tout de suite, comme si elle m’avait attendu derrière la porte. Elle me souriait en me détaillant de la tête aux pieds. Je crois que ça l’a amusée de me voir dans cet état.
– Entre !
– Merci… madame.
Elle rit. Je ne pus m’empêcher de regarder ses fesses.
“Tu peux m’appeler Nora, si tu veux. J’ai des origines italiennes.”
Elle portait un jeans qui moulait parfaitement ses jambes. Je me fis la réflexion qu’elle ne devait pas porter de culotte. Un string peut-être. Elle portait un tee-shirt blanc uni, apparemment sans soutien-gorge. Je la regardais le plus discrètement possible. Elle s’arrêta à quelques pas de l’entrée et me désigna la salle de bains, en me proposant d’aller y enlever mes habits et me sécher avec une serviette chaude. Je m’exécutai, trop content de pouvoir me réchauffer. Il régnait une chaleur agréable dans la maison, mais ce n’était rien comparé à la fournaise de la salle de bains. J’enlevai péniblement mes habits mouillés. Je me retrouvai avec juste mon boxer, légèrement atteint par l’humidité. Soudain, mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Je la vis, elle se tenait de l’autre côté de la porte entrebâillée. Elle vit que je l’avais vue et entra comme si c’était naturel.
– Je vois que tu n’oses pas prendre une serviette. Viens.
Elle en prit une et se mit à frotter mes cheveux. J’en profitai pour la reluquer. Puis elle me frictionna le torse. Ce contact physique avec une femme me mit en émoi.
– Tu es plutôt musclé, dit-elle sur le ton de la conversation. Tu fais du sport ?
– Oui, répondis-je. De la natation.
Elle descendit plus bas sur mon abdomen. Je sentis mon sexe durcir un peu.
“Les nageurs ont des corps harmonieux”, dit-elle avec un sourire énigmatique. Je la trouvai soudain très belle, je ne l’avais jamais vue de si près. Désirable aussi. Elle se baissa et continua à me frotter avec la serviette.
“Votre mari n’est pas là ?”, osai-je demander. Au moment où je posai la question, la serviette effleura mon membre qui commençait à former une sérieuse bosse dans mon boxer.
“Il travaille beaucoup, il rentre toujours tard.” Puis elle frotta mes jambes, la tête à la hauteur de mon sexe mais elle ne semblait pas s’en émouvoir. J’étais assez excité, j’avais envie de me caresser. Soudain, elle arrêta son petit manège et se redressa.
– J’espère que tu as plus chaud maintenant. Je vais te donner une autre serviette à mettre sur tes épaules le temps que tes habits sèchent. Un chocolat chaud ?
– Oui merci, euh… Nora.
Elle rit à nouveau puis me fit signe de la suivre. Elle me mena à la cuisine et me proposa une chaise. Elle se baissa juste devant moi pour aller attraper deux bols et le chocolat en poudre. Je pus admirer, à mon grand bonheur, son superbe cul. Je sentis la bosse de mon boxer enfler encore. J’avais peur qu’elle ne le découvre et me chasse de la maison. Elle se redressa, et sans se retourner, comme si elle voulait toujours m’offrir le spectacle de son magnifique cul, elle se dirigea vers les plaques chauffantes. Elle mit du lait à chauffer puis vint s’asseoir juste à côté de moi. Son genou frôlait ma cuisse. Je faisais de malheureux efforts avec ma serviette pour dissimuler mon érection, qui devint maximale à ce moment-là. À ma grande surprise, elle me caressa la cuisse. Je sursautai.
– Eh bien, détends-toi ! Je voulais juste vérifier que tu avais assez chaud maintenant. Je crois que c’est le cas, n’est-ce pas ?
– Oui, merci beaucoup.
Je sentis son parfum. Son tee-shirt laissait entrevoir, au niveau de son cou, le début de sa poitrine, qui semblait généreuse. Je croisai son regard. Cette fois, c’était sûr, je fus pris sur le fait. J’étais grillé. Elle fronça un sourcil, me dévisagea. Puis un large sourire illumina son beau visage.
“Je crois que le lait est chaud !”
Elle nous servit nos chocolats et se rassit à côté de moi. Je commençai à boire quand je sentis à nouveau sa main sur ma cuisse. Je la laissai faire en continuant de boire. Sa main remontait doucement le long de ma cuisse. Elle pressa légèrement sa poitrine contre mon épaule. Ma queue était à présent dure comme de l’acier. Elle continua à me caresser la cuisse jusqu’à mon boxer. Elle souleva la serviette.
“C’est bien ce que je pensais. Tu es extrêmement tendu. Viens, on va régler ça.”
Elle prit ma main et me mena dans la chambre à coucher. Elle tira les rideaux.
“Tu bandes comme un taureau !”
Je ne répondis rien. Elle rit et enleva son tee-shirt. Effectivement elle ne portait pas de soutien-gorge. Je n’avais probablement jamais vu de poitrine aussi belle, malgré les quelques films porno que j’avais regardé en douce chez moi. Elle s’agenouilla devant moi. En me regardant dans les yeux, elle me demanda :
“Tu aimerais que je te suce ?”
Je fis oui de la tête. Elle porta ses mains de part et d’autre de mon boxer.
– Je voudrais que tu me le demandes. Dis-moi que tu le veux.
– Je veux que vous… que tu me… suces.
Elle hocha la tête, tout en me regardant toujours droit dans les yeux.
– “Suce-moi la queue, Nora.”
– Suce-moi la queue, Nora.
Dire ceci me la rendit encore plus raide. Elle sembla se délecter de tirer sur mon boxer et de découvrir mon membre tendu vers elle.
“Bonjour toi… eh ben, t’es bien monté, mon petit voisin…”
Elle commença à me branler doucement, en admirant mon sexe. Puis elle me regarda dans les yeux et passa sa langue sur mes couilles. Je gémis légèrement, ce qui sembla la ravir. Puis elle remonta le long de ma verge. Elle joua avec mon gland du bout de la langue. Je frémis, fermai les yeux. Je sentis ses lèvres se refermer sur moi et m’avaler doucement. La sensation était divine. Peut-être un peu trop car je sentis que j’allais jouir. Je pris sa tête à deux mains comme pour l’arrêter. Elle résista et continua. Je lui dis que j’allais jouir. Elle répondit juste “Mhhmmhh” pour acquiescer. La perspective d’éjaculer dans sa bouche redoubla mon excitation et j’explosai dans un râle. La sensation était fantastique. Elle sembla légèrement surprise.
– Eh bien, on peut dire que tu avais de la réserve, mon cochon… rit-elle.
Mon sexe ressortit encore dur de sa bouche, propre. Puis je commençai à débander.
– Il va falloir attendre un peu maintenant, dit-elle. Tu as déjà touché des seins ?
Je fis non de la tête. Elle sourit.
Elle enleva son pantalon. Elle ne portait rien en-dessous non plus. Sa chatte n’était pas entièrement rasée, juste bien entretenue en un très joli triangle de poils. Mes yeux n’arrivaient pas à choisir : ses seins, sa chatte, ses seins, sa chatte… cela sembla l’amuser. Elle se coucha sur le lit, sur le dos. Elle me fit signe de venir, je m’assis à califourchon sur elle. Elle prit mes mains et les guida vers ses seins. Je savais que c’était sensible, je les caressai doucement. Elle sembla apprécier et ferma les yeux. Si je devais définir le bonheur, je crois que ce serait cela.
Elle rouvrit les yeux et me fit me retourner. Elle se retrouva sur moi. Elle était magnifique, avec sa chevelure tombant sur ses épaules et ses seins.
“J’ai envie que tu me lèches, tu as envie ?”. J’acquiesçai. Elle avança à genoux, approchant sa chatte de mon visage. Puis elle écarta doucement les jambes et commença à onduler du bassin. Ses lèvres écartées finirent par rencontrer ma langue. Je léchais enfin un sexe de femme. Je suçai ses lèvres, son clitoris… elle sembla apprécier. Elle se cabra et intensifia les mouvements de son sexe sur ma bouche. Elle commença à gémir. Puis s’arrêta net, jeta un coup d’oeil en arrière.
– Je vois que ça ne te laisse pas indifférent non plus…
Ma queue était à nouveau dure. Elle se retourna. Le spectacle offert était à la hauteur de tous mes fantasmes et même davantage. Je voyais son cul, sa chatte, ses seins et elle recommença à me sucer. Elle fit en sorte que je puisse lui donner du plaisir avec ma langue également. Elle fit même exprès de me faire lécher son anus, ce qui m’excita encore davantage. J’entrepris de la doigter, ce qui lui fit lâcher un soupir d’aise. Elle me lécha les couilles, comme pour me remercier. Je gémis à mon tour. “Encore…” sussura-t-elle. Je plongeai un autre doigt dans sa chatte. “Mmmmh” fit-elle. “Tu veux bien m’en mettre un dans le cul aussi ?”. Ce que je fis avec plaisir. “Ohhh” dit-elle encore. “J’ai envie que tu me baises, fort, ici et maintenant.” Elle se coucha sur le dos, les jambes écartées. “Viens”. Je m’approchai, la verge tendue vers sa chatte offerte. J’étais dans tous mes états. Elle dut m’attirer à elle. Elle m’embrassa et prit ma queue qu’elle branla doucement. “Mmmh elle est bien dure… baise-moi bien fort.” J’approchai finalement encore un peu plus. De sa main elle guida mon sexe vers le sien. Le moment attendu depuis longtemps était arrivé, j’allais perdre ma virginité. Elle se caressa d’abord avec mon gland. Les lèvres, le clitoris. Puis le fit entrer en elle. Elle était incroyablement mouillée. “Baise-moi, fort… j’en peux plus.” Je fis ce qu’elle voulait. Ma queue entra en elle d’un seul coup. Un “Ohhhh” sortit de sa bouche. Je restai ainsi en elle, savourant ce moment tellement agréable. Puis elle enroula ses jambes autour de moi et plaça mes mains sur ses fesses. Dans mon cerveau c’était l’explosion. “Je fais l’amour à une femme… je l’ai pénétrée, je suis en elle… je la baise… elle veut que je la baise…”. Cette sensation de chaleur de ma verge dans son vagin, cet écrin si accueillant, était merveilleuse. Je commençai à ressortir. Je me redressai un peu pour observer mon sexe glisser hors du sien. Elle regarda aussi.
– C’est beau, hein ? me demanda-t-elle.
– Oh oui… et c’est bon…
Mon gland était à l’entrée de son vagin, alors je repoussai ma queue bien profondément en elle à nouveau. Elle gémit. J’allai et venai en elle à un rythme de plus en plus soutenu. Elle soufflait et prenait manifestement beaucoup de plaisir, se mordant la lèvre du bas, me demandant de lécher ses seins. Je continuai de plus belle. Soudain, avec toute cette fougue, ma queue sortit de sa chatte. Elle se retourna et se mit à quatre pattes, me présentant ce magnifique cul et son sexe mouillé et ouvert. Je ne me fis pas prier, je la pénétrai à nouveau, m’aidant avec mes mains sur ses hanches, poussant ma verge bien au fond de son vagin. Elle gémit de bonheur et moi aussi. J’étais à nouveau en elle, ma queue bien dure allait et venait dans sa chatte toute trempée de désir. Je sentais que nos orgasmes n’étaient pas loin d’arriver. Je ralentis un peu et lui mit une phalange dans l’anus. “Mmhhh”, approuva-t-elle.
– Je vais jouir, dis-je, le souffle court.
– Oh… moi… hmm… aussi… répondit-elle.
– En toi ?
– Oh oui… hmmmm… en moi, tu peux y aller…
Dans un râle, je la saisis fermement, la pénétrai plus profondément que jamais, et jouis en elle avec de violents sursauts. Elle aussi sembla jouir, étant donné les cris de plaisir que j’entendis et les spasmes qui parcoururent son corps. Nous restâmes encore quelques minutes dans cette position. Elle remuait encore son bassin en poussant des petits gémissements de bonheur.
“Mh, c’était trop bien…”
Puis je me retirai et elle me prit tout de suite dans sa bouche. Elle me suça la queue un petit moment avant de dire “Et voilà, t’es tout propre !”. Je dis merci et elle rit. Elle enfila une culotte puis se rhabilla. “Tes habits doivent être secs, maintenant.” Elle descendit les chercher. Je dis à nouveau merci et me rhabillai maladroitement. Puis elle me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement, nos langues se mêlèrent. J’en profitai pour lui toucher les fesses et les seins. Je glissai même un doigt le long de sa raie. J’entrepris de lui mettre un doigt dans l’anus à nouveau… elle dit “Mmmhh, ce serait pas de refus mais il faudrait que tu y ailles maintenant, mon mari va bientôt rentrer.” Je lui souris et fis oui de la tête. Elle me raccompagna à l’entrée. La pluie avait cessé. Je lui fis un petit signe de la main et elle me fit un bisou de loin. Je rentrai chez moi à nouveau excité mais tout heureux de la tournure qu’avaient pris les événements. Je comptai bien la revoir le plus tôt possible.
De bien jolis débuts