Acte IV : Quand l’action se passe ailleurs

J’ouvre les yeux, un peu désorientée et je me rends compte rapidement que je ne suis pas encore arrivée à la gare où je dois descendre. J’ai très mal dormi, car je suis si contente, nerveuse et excitée de te revoir que j’ai à peine pu fermer les yeux. Je dois descendre à l’arrêt d’après pour prendre le métro qui m’emmènera enfin jusqu’à toi. Nous avons rendez-vous dans moins de 20 minutes, mais j’ai un peu de retard. Je sais déjà que tu me pardonneras en voyant la surprise que je t’ai préparée. Je suis habillée avec une robe courte noire en cuir ayant un décolleté dans le dos, des escarpins en velours noirs et un sac rouge qui allait à merveille avec mon rouge à lèvres et mon teint clair. Je prends le métro et j’ai conscience que cela ne sert à rien de m’asseoir car je dois descendre seulement deux arrêts plus loin. À mes côtés, une femme d’âge mûr m’observe de la tête aux pieds. Elle me fixe avec un regard désapprobateur, à cause de ma robe sûrement trop sexy à son goût. Si seulement elle savait ce que je porte en-dessous, ton « cadeau », elle me regarderait sûrement bien plus farouchement. Je descends à la station la plus proche du cinéma, marchant jusqu’à ma destination et ma nervosité n’a plus de limites. Il s’en est fallu de peu pour que je trébuche sur la bandoulière de mon sac. Définitivement, penser aux orgasmes que tu m’avais donnés la dernière fois, chez moi, n’était pas la meilleure des choses que je pouvais faire pour arriver saine et sauve et rapidement à notre rendez-vous. Je te vois de loin : assez grand, allure sportive, habillé du même jean bleu plutôt clair qu’à notre rencontre, une chemise noire à manches longues, ton sourire démentiel qui me fait vraiment craquer et surtout, ces yeux pétillants, qui, quand ils me regardent, me donnent l’impression que le monde s’arrête de tourner. Ce visage d’ange incroyable, l’ange qui me transporte au paradis et en enfer en même temps.

Tu me prends dans tes bras et m’embrasses pour me saluer, puis tu m’éloignes un peu de toi, assez pour voir que ma cheville n’avait plus rien. Tu me demandes si ça me fait encore un peu mal. Je t’explique que non. Tu me dis que ça te fait plaisir et me montres les tickets pour « A Star Is Born ». Le film commence à 19:55 et nous avons à peine 15 minutes pour entrer, acheter de quoi grignoter, boire et trouver la bonne salle. Nous la trouvons et prenons place dans le fond juste à temps. Elle est à moitié vide. Devant nous est assis un couple plus âgé. Un peu plus loin, un groupe de jeunes prend place. L’une des filles tourne la tête et me fait un grand sourire. J’ai l’impression qu’elle savait ce que nous allions faire. Je me retourne vers toi et je te vois me fixer avec ces yeux bleus, ces yeux qui, je le crois, sont l’interrupteur de chaque millimètre de mon corps et qui ont un effet fou sur moi et mon entrejambe. Tu veux me prendre la main mais je t’en empêche, car avant j’ai un petit jeu pour toi. Je te demande de choisir un numéro entre le 1 et le 2 et tu choisis le numéro 2. Je prends mon sac, l’ouvre et sors ta surprise. Je pose sur ta main droite ce petit emballage entouré d’un nœud rouge et, en le voyant, tu me lances un regard rempli de curiosité, un peu comme un petit garçon qui veut savoir de suite ce qu’il y a dedans. Tu déchires l’emballage et découvres ce petit appareil tout rose qui tient dans la paume de ta main. Tu sembles stupéfait et cela me fait énormément sourire. Pendant que tu le regardes sous tous les angles, je m’approche de toi et te susurre à l’oreille l’utilité bien coquine de cette télécommande, disons, pas comme les autres. Tu éclates de rire et tu m’embrasses à pleine bouche comme pour me dire merci, heureux que je sois assez folle pour penser à une idée pareille. La femme devant nous se tourne et nous lance un regard noir, mais nous nous en foutons royalement. Tu me regardes et dit : « Tu me surprendras toujours… mais au fait, c’était quoi le numéro 1 ? ». Je te réponds d’un air taquin : « Ne sois pas trop curieux. »

Tu souris et d’un air presque innocent, tu appuies sur le premier bouton. Je sens, pour la première fois, les vibrations lentes mais efficaces de ce vibromasseur que désormais tu contrôles.

Les bandes-annonces viennent de s’achever. Tu relèves l’accoudoir qui sépare nos deux sièges et tu m’embrasses comme si la fin du monde était proche. Je mets ma main sur ton sexe déjà bien dur, en même temps que nos langues s’entrelacent et je sens mon entrejambe devenir moite. Tu appuies sur le bouton de droite, celui qui contrôle l’intensité des vibrations. Je ferme les yeux un bref instant et il a fallu que je contienne mon envie naissante de crier qui traversait tout mon corps. Je mords ma lèvre inférieure sans vraiment m’en rendre compte et ce n’est que quand j’ai senti le goût du sang parcourir ma bouche que j’ai compris ce que je venais de faire par mégarde. J’avais envie de toi, très envie de toi, je voulais sentir ton sexe chaud contre ma peau et aussi dans ma bouche. Je te lance un regard qui se passe de commentaires, j’ouvre ta braguette et glisse ma main. Je commence à te masturber comme j’aime le faire, d’abord doucement puis de plus en plus vite, à mesure que je vois ton excitation monter. De mon sac, je sors un bonbon à la menthe et le mets dans ma bouche. Je t’en propose un que tu as poliment décliné, mais tu n’as pas pu t’empêcher d’ajouter : « Je préférerais autre chose dans ta bouche ! » ce qui me fait sourire. Je dis presque, en un chuchotement, surtout par excitation : « Moi aussi ! ». Je m’agenouille devant toi, comme si j’allais prier et, en essayant de ne pas faire de bruit tout en sachant que si quelqu’un se décidait à regarder vers l’arrière de la salle, il ou elle verrait ce que je m’apprête à faire : te sucer. Je m’approche au maximum de toi, prends ton sexe dans ma main droite et passe ma langue autour de ton gland. Je savais que le bonbon à la menthe faisait son effet car, toi qui adores avoir le contrôle sur moi et sur tout en général, tu venais de le perdre.

La télécommande t’échappe des mains et cela me rappelle qu’elle fonctionne également aux mouvements car j’ai senti bouger le vibromasseur à l’intérieur de moi et je fais de mon mieux pour que cela ne se voie pas sur mon visage. Je suis assez contente que tu ne puisses pas monter d’intensité, je sens profondément que je suis déjà bien assez mouillée comme cela. Tu me fais remarquer que l’un des jeunes vient de se mettre à l’écart de son groupe, prenant place quelques rangs derrière eux. Je me demande, un bref instant, s’ils se sont disputés, mais comme j’ai d’autres occupations bien plus captivantes à ce moment, je n’y prête pas plus attention. Je continue à te prendre en bouche avec désir, puis fais une pause pour passer ma langue le long de ton pénis, du haut en bas. Au lieu de remonter, je descends encore un peu plus et te lèche les testicules. Je voulais que tu sentes entièrement le chaud/froid de ma langue sur ton sexe. Je te vois récupérer difficilement la télécommande et la tenir dans ta paume gauche fermée comme si faire ça te rassurait. Je te regarde droit dans les yeux car je voulais évaluer ton niveau d’excitation et je comprends de suite ce qui allait suivre. Tu prends ma tête dans tes mains et tu appuies fort. Je sens toute ton envie de pénétrer ma bouche et que je te suce encore plus intensément. Je bave abondamment et j’essaie de me tenir dans la bonne position pour que tu puisses mettre ton sexe au plus profond de ma gorge sans trop de difficulté. Je ne sais pas si tu en avais conscience, mais j’adore me faire défoncer la bouche de telle manière par toi et c’est encore bien plus jouissif quand je vois à quel point tu es excité et cela te plaît… Ton visage ne peut pas cacher le plaisir et ta main droite tient ma tête pendant que la gauche commence à bouger frénétiquement la télécommande, de haut en bas. Bordel ! Je me demande comment tu as découvert qu’elle pouvait aussi fonctionner ainsi. Sûrement l’as-tu compris en voyant ma tête quand la télécommande était tombée.

Je ne suis vraiment pas douée pour faire semblant. Tu sors ton sexe de ma bouche et un rire nerveux s’en échappe. Je me demande dans quel endroit de la salle on pourrait passer aux choses sérieuses. Après avoir lancé un regard furtif autour de nous, je me suis dit que notre plan devait changer. Je voulais de plus en plus sentir ton sexe en moi et attendre davantage m’était impossible. Je me lève et te prends par la main. Nous remarquons que le jeune qui s’était mis à l’écart est en train de se masturber en nous regardant. Je perçois une once de satisfaction sur ton visage. Nous essayons de nous éclipser aussi discrètement que possible, mais nous éclatons de rire et tous les regards se tournent vers nous.

Il me semble que tu as cru que l’on allait finir ce que nous avions commencé chez toi car tu marches vers la sortie. Mais je t’indique que nous devons tourner à droite… Je ne pouvais pas tenir jusqu’à ton appartement. Je voulais que tu me prennes ici et maintenant, alors je te guide jusqu’aux toilettes du cinéma. Devant les portes, nous remarquons qu’il y a beaucoup de monde dans les toilettes des femmes, contrairement à celles des hommes qui sont presque vides, alors le choix était fait : nous prenons d’assaut celles des hommes. Tu entres en premier et je te suis 1-2 minutes plus tard, juste après avoir entrevu, grâce à un vieil homme qui sortait, qu’il n’y avait personne à l’intérieur. Je rentre sans vergogne, regarde en premier à gauche, apercevant les lavabos, puis au fond les toilettes. Du côté droit, il y avait d’abord un mur puis des urinoirs et j’ai demandé à haute voix : « Où es-tu ? ». Pas de réponse. Alors, je me suis rappelée que tu es joueur et que tu adores titiller mes envies… Je marche devant les 4 premières portes des toilettes tout en me baissant, mais je ne vois aucun pied. Entendant du bruit, je me retourne et vois la porte d’entrée s’ouvrir : entre alors un homme de plus ou moins ton âge.

Il me remarque rapidement et j’aurais juré que c’était la première fois de sa vie qu’il voyait une femme. Il baisse timidement les yeux et entre dans la première toilette. Moi, je me demandais : Où diable es-tu passé ? Je sursaute en sentant le vibromasseur augmenter de vitesse, ce qui voulait dire que tu étais à moins de 4.5 mètres de moi… et je le vois, le seul endroit où je n’avais pas encore regardé : les toilettes pour handicapés. J’ouvre la porte et tu es là, me souriant et tu me dis : « Je pensais que tu n’allais jamais me trouver… ». Je te souris à mon tour et, sans rien ajouter, j’enlève mon string noir, puis mon jouet qui était incroyablement mouillé. Je le glisse dans le petit sachet que j’avais sorti de mon sac à main et je pose mon sac par terre. Je m’approche de toi et mets 2 de mes doigts trempés dans ta bouche. Tu les lèches, en me regardant droit dans les yeux et jusqu’à ce qu’il ne reste rien. Dès que tu finis, je t’embrasse, car je voulais me goûter aussi. Puis, quand je te vois descendre vers mon entrejambe, j’appuie sur ta tête pour sentir ta langue encore mieux. Je laisse tomber ma robe par terre, en enlevant le seul bouton qui permettait qu’elle soit fermée. Je n’ai pas de soutien-gorge donc je me retrouve presque entièrement nue devant toi, à l’exception de mes chaussures, car je ne voulais pas être pieds nus dans des toilettes publiques, et mes jarretières qui faisaient office de collant. Tu es à genoux devant moi et tu me lèches de manière très avide, je sens tes lèvres enfermer mon clitoris et l’aspirer doucement. Je n’ai plus le contrôle et je commence à gémir légèrement. Je ressens ta langue me pénétrer plusieurs fois, de plus en plus rapidement. Je ne sais pas si tu prenais conscience de ce que je faisais pendant que tu t’occupais de mon sexe : je me caressais les seins encore et encore. Mes tétons étaient durs et j’allais te demander de me prendre mais, avant que je puisse dire un mot ou bouger, je t’entends gémir à ton tour et sens l’orgasme venir. Je te vois avec ma mouille partout sur le visage et je gémis, non, je crie.

Tu continues à bouger ta langue endiablée dans ce petit « point f », comme tu l’appelles, que tu es le seul à connaître et je te tire les cheveux un instant, plus pour te dire sans mots que tu es incroyable que pour te faire mal. Je veux te remercier pour ce délicieux orgasme alors, sans préambule, je tire sur ta chemise pour l’ouvrir, baisse ton pantalon et remets ton sexe dans ma bouche. Il aurait difficilement pu être plus dur. Tu me tires les cheveux en arrière, fort. Sais-tu que la vengeance n’est pas bonne ? Je comprends qu’en fait, tu as les mêmes pensées que moi : on va arrêter de communiquer oralement. Je regarde pour la première fois les toilettes dans leurs totalités et je comprends pourquoi tu les as choisies. Elles sont très spacieuses, nettement plus que des toilettes normales, et très très propres, ce qui, connaissant ton obsession pour la propreté, a dû peser lourd dans la balance au moment de ton choix. Tu me fais me tenir aux barres des toilettes et me baisser. Tu me caresses doucement le derrière et le bas du dos, les jambes, et tu reviens, comme attiré par un aimant, à mes fesses. Tu me fais sentir ton sexe en érection et je sens que tu mets 2 de tes doigts dans mon vagin. Tu les as bien mouillés et tu essayes d’utiliser ma mouille pour me lubrifier analement. C’est là que tu découvres ce qu’était « le choix numéro 1 », un plug anal télécommandé. Tu dis : « Hummmm, ça me plait beaucoup » tout en me serrant fort les fesses. Tu enlèves alors le plug et tu le remplaces par ton sexe. Je ne m’attendais pas à cela mais ça ne me déplaît pas car j’aime te sentir partout en moi. Tu continues à me caresser, étires la main pour caresser mes seins, caresses aussi mes hanches. Tu commences à faire des va-et-vient en me tenant par la taille. Tu continues et je respire de plus en plus fort. Je sens ton sexe super bien en moi, ferme les yeux et sens que tu me tiens de plus en plus fort les hanches, tes mains me faisant presque mal. J’adore que tu me domines entièrement.

Je savais que tu allais bientôt arriver, je le sentais, tu fais ces gémissements que tu fais seulement quand tu es proche de la jouissance. Tu me dis : encore, encore, encore, et moi, je bouge mon bassin contre toi en même temps que toi, tu me pénètres… puis, sans vraiment crier gare, je m’effondre. Tout disparaît autour de moi, autour de nous, j’explose dans le plus grand des orgasmes, le plus puissant et, en même temps, le plus doux car je sens que tu es aussi arrivé et que, maintenant, tu me fais de doux baisers dans le cou.

Tu me plaques contre le mur du fond et tu m’embrasses avec un mélangede passion et d’insaisissabilité, en prenant avec une main mon menton et avec l’autre mon dos pour me coller contre toi. J’arrête de t’embrasser car je voulais te regarder dans les yeux pour essayer de deviner à quoi tu pensais à cet instant. En voyant ton grand sourire coquin et ces yeux pétillants, je me demandais si tu étais juste heureux à cause de ce que l’on venait de faire ou s’il y avait une autre raison.
Tu me dis : « Mon bouton ».
Je réponds : « Quoi ? »
Et tu continues : « Tu as tiré sur ma chemise et en tout cas un, voire deux boutons se sont arrachés ».
Je suis surprise et j’ajoute d’un air enfantin : « Je suis désolée ! » 
Puis tu me dis d’un air soudain devenu mi-sérieux, mi-taquin: « Tu vas devoir me payer… en nature ».
J’éclate de rire et je te dis: « Cela me va, à une condition, allons acheter des m&m’s vu que pour le film on a même pas pu prendre quelque chose tellement la queue était longue. C’est ce que j’ai toujours préféré au cinéma. Ensuite, on ira chez toi et je te laisserai, après une bonne petite douche, faire de moi tout ce que tu veux ».

Tu me dis : « Parfait ! Allons t’acheter ces douceurs que je mangerai volontiers sur ton corps ».
Nous ouvrons la porte des toilettes, après que nous nous soyons rhabillés et, main dans la main, nous partons chercher ces cacahuètes enrobées afin de continuer à faire ce que l’on préférait au monde : profiter de nos corps, profiter l’un de l’autre, profiter de la vie.

10 commentaires sur “Acte IV : Quand l’action se passe ailleurs

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  1. Eh voilà, je reçois le mail de votre nouveau poste Lady Annia au milieu de la nuit, je le lis discrètement sur mon mobile au travail et voilà que je n’ai qu’une idée : aller au cinéma accompagné! Je vais devoir vous lire qu’une fois à la maison dorénavant. 🙂

    1. Cher Nicolas B.,

      Je suis ravie d’apprendre que tu avais vraiment hâte de lire la suite de cette histoire…pas comme les autres.
      Tu as raison, le cinéma accompagné est beaucoup plus divertissant que seul.
      À la semaine prochaine 😉 chez toi si tu peux vraiment attendre.

      Bien à toi,

      Lady Annia

      1. D’une certaine façon oui… avec mes histoires…
        Mais c’est surtout toi qui va devoir les lire qu’en rentrant à la maison, et pas au travail !

    1. Cher Al,

      Je suis ravie que tu aies aimé cette nouvelle histoire.
      Avec plaisir et… j’espère que tu iras plus souvent au cinéma ! 😉

      Bien à toi,

      Lady Annia

  2. Bonjour Lady Annia et merci pour cette superbe suite.
    La scène dans le cinéma est très prenante. J’avais l’impression de vivre moi-même la situation et de sentir l’excitation progresser. La petit jeu du choix du numéro « 1 » ou « 2 » et la télécommande surprenante qui vas avec m’ont particulièrement excité. Pour la scène dans les toilettes, j’aime ce mélange entre sauvage et sensualité.

    Tu as une manière magique de décrire et introduire des éléments excitant dans tes récits. Tu arrive à jouer avec l’intensité du désirs et du plaisir.

    Merci pour ce récit, je l’ai adoré. J’ai vite senti l’effet que procure des récits 😉
    Je me réjouit de pouvoir lire la suite.

    1. Cher Orgasmik Boy,

      Je suis ravie que tu aimes la suite.
      Je trouve que le mélange entre sensualité et sauvage est nécessaire, j’irai même plus loin : je dirais que la sensualité doit être teinte de tendresse, pour que ces deux opposés puissent vraiment se compénetrer.

      Je te souhaite une belle semaine en attendant la suite.

      Bien à toi,

      Lady Annia

  3. Quel délice.
    Je n’avais pu lire les 2 dernières et je viens de me rattraper avec bonheur.
    Quel effet ont sur moi ces mots, ces situations, cette montée parfois douce parfois tellement rapide du désir et la réaction de mon propre sexe en phase avec la lecture…
    Merci Lady, j’ai hâte de lire la suite !

    1. Cher rêveur,

      Je suis ravie que mes histoires te transportent!

      Belle semaine à toi et à vendredi pour la suite.

      Bien à toi,

      Lady Annia

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par Anders Noren.

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