Acte VIII : Quand un week-end anodin devient mémorable (Partie 1)

Je suis fatiguée, j’ai eu une journée bien remplie mais il me reste à terminer ma valise avant de m’endormir sinon je risque de manquer de temps. Demain nous partons en petit week-end improvisé et tu m’as demandé de te faire confiance quant à notre destination. Tu aimerais que cela reste secret jusqu’au dernier moment et je ne vois aucune objection à cela, surtout que j’aime être joueuse avec toi. Comme seule information pour que je puisse préparer mes affaires, tu m’as dit qu’il fait un peu plus chaud qu’ici. Je n’ai pas connaissance de la ville, ni de l’endroit que tu as prévu pour qu’on dorme mais s’il y a une chose dont je suis certaine, c’est que ce voyage va être rempli de surprises, de sourires et de moments de plaisir suprême car notre relation évolue avec nous.

Le lendemain est vite arrivé et j’étais plus que contente de voir qu’un grand soleil illuminait le ciel, ce qui était de bon augure. Je suis arrivée à l’aéroport et j’ai joué le jeu, je n’ai pas regardé les écrans indiquant les départs. Je t’ai retrouvé à la cafétéria et nous nous embrassons et enlaçons longuement avec tendresse. Tu es habillé avec un jean gris, un t-shirt rouge et des baskets montantes noires, tu portes un sac à dos noir sur tes épaules. Moi je suis habillée avec un pantalon noir fluide tombant sur mes hanches, un t-shirt fuchsia près du corps, des baskets basses noires et comme bagage je n’ai qu’un grand sac que je peux prendre avec moi en cabine en plus de mon sac à main. Nous prenons un café en attendant de pouvoir rejoindre notre salle d’embarquement. Tu me demandes si je ne suis pas curieuse concernant la destination que tu avais choisie, je te réponds que je le suis mais que j’essaie de ne pas trop y penser ! Tu souris et tu me dis : « Je sais ».
Je te regarde avec un regard faussement noir et je t’imite : « Je sais ».
Tu souris encore plus et tu ajoutes : « Dommage, j’allais te donner plus d’informations, maintenant tu devras attendre ».
Je te regarde et je fais l’enfant, je te dis : « Stp stp stp stp » et à chaque mot j’ajoute un nouveau baiser sur ton visage.
Tu me regardes malicieusement et me réponds : « Si tu me révèles ce que tu portes sous ce joli pantalon, je pourrais peut-être changer d’avis ».
Je surenchéris : « Si jamais tu me donnes une info sur la destination, je pourrais te montrer ce que je porte »
Tu me lances un regard libidineux et m’annonces : « C’est une capitale européenne ».
Je te rétorque : « Ce n’est pas très précis, il y a 27 possibilités !!!! ».
Tu me regardes comme attendant quelque chose de moi, je ne te laisse pas le temps de placer un mot et je te dis que je reviens, je vais aux toilettes. À mon retour, tu me fais remarquer que maintenant c’est à moi de tenir ma part du marché et te montrer mon string. Je prends mon natel et je te montre une photo que je venais de prendre aux toilettes, sur laquelle on voyait que je ne portais pas de pantalon, alors tu me dis : « Mais je ne vois rien ».
Je te réponds : « C’est sûrement parce qu’il n’y a rien à voir »
Tu me regardes confus, je m’approche de ton oreille et j’ajoute : « Ce que je veux dire par là c’est que si, par exemple, tu décidais de baisser mon pantalon là toute de suite, tu verrais mon sexe nu ».
Tu t’es alors exclamé, incrédule : « Tu n’as vraiment rien? » tout en regardant mon pantalon comme si tu avais une vision à rayons X et que tu pouvais voir à travers. Tu regardes ton portable et tu me dis que nous pouvons passer la barrière de sécurité pour aller jusqu’à notre porte d’embarquement qui est la numéro 11. Nous marchons doucement, tu me demandes si j’ai besoin d’aide avec mon grand sac et je te dis que non, mais tu n’entends rien et tu le prends. Je sens ton autre bras m’enlacer par la taille. Nous marchons avec insouciance et apercevons que nous nous rapprochons de la barrière de sécurité. Pour te taquiner, je te dis que j’espère avoir pris mes papiers mais tu ne réagis pas. Je te vois pensif regardant derrière nous et je me demande si tu m’as vraiment entendu, puis je sens ta main rentrer à l’arrière de mon pantalon et palper mes fesses furtivement. Je ne tourne pas la tête pour te regarder, même si j’en ai très envie maintenant que je comprends mieux où tu avais la tête depuis une minute ou deux. Je t’entends affirmer, satisfait : « Tu n’as vraiment rien ! ».
Je te dis : « Rien du tout », juste au moment où nous arrivons dans la partie de l’aéroport où on ne peut entrer qu’avec des billets d’avion. Deux policiers nous demandent nos cartes d’identité et les tickets, nous regardant à peine et nous laissent finalement passer après nous avoir rendu le tout. Juste après, nous passons le contrôle de sécurité qui a duré beaucoup trop longtemps à mon goût. On marche et nous suivons les flèches pour arriver jusqu’à la porte d’embarquement numéro 11 en nous tenant par les mains. Soudain, tu me regardes fixement et me dis comme si c’était un secret d’état : « J’ai très envie de baisser ton pantalon et te faire l’amour ». Je souris car moi aussi, mais je ne dis rien. Je m’arrête et te fais t’arrêter aussi, je t’embrasse le plus tendrement que je le pouvais alors que tout mon corps avait envie de toi. Nous continuons à marcher, je te sentais à nouveau pensif mais ne disais rien. Quand nous sommes arrivés à la porte 10 tu m’as demandé si je voulais bien fermer les yeux et jouer le jeu. J’ai accepté et, après les avoir fermés, tu as commencé à me guider alors que je ne voyais rien. Je marchais lentement car je n’aime pas ne pas voir ni savoir ce qui se trouve devant moi. Tu t’en rends compte et tu me glisses : « Fais-moi confiance » puis tu t’arrêtes au bout de quelques secondes et je sens que tu m’enlaces par-derrière. Tout en couvrant mes yeux, tu me lances : « Tu peux les ouvrir maintenant ». Je le fais et sur l’écran qui se trouve au-dessus, je vois le nom de la ville où nous allons partir. Je suis super contente car je n’y suis jamais allée et j’avais bien envie de le faire un jour. Le fait que ça soit avec toi, c’est la cerise sur le gâteau, mais il fallait encore attendre 2h05 de vol et moi j’ai déjà hâte d’y être.

Nous sommes enfin dans l’avion et nous remarquons qu’il est à moitié vide. Nous nous asseyons ensemble, moi côté hublot et toi côté couloir. Je te demande si, dans ton programme, nous irons nous promener au Parc du Retiro et tu me dis : « Peut-être ». Je te demande également si nous irons manger des churros en te priant de ne pas répondre « Peut-être » à ça. Tu dis : « Alors non ma petite gourmande ! » avec un grand sourire. Je te demande : « Pourquoi tant de méchanceté ? » et on s’embrasse. Je regarde par le hublot et je pense à tout ce qu’on pourra visiter, notamment le Musée du Prado où j’ai toujours rêvé d’aller, principalement à cause des tableaux de Botticelli et El Greco que j’aimerais voir de plus près. Je suis perdue dans mes pensées quand je me rappelle vaguement quelque chose dont tu m’avais parlé lors de nos longues conversations du début. Je te demande sans préambule : « Ce n’est pas là où ta sœur habite ? »
Tu prends ma main droite avec tes deux mains et tu me dis : « Oui, je vais te présenter ma grande sœur Frédérique, elle s’y est installée avec sa famille depuis peu et on va loger dans leur chambre d’amis »
J’acquiesce sans trop savoir à quoi et tu ajoutes « Son anniversaire était la semaine dernière alors j’ai pris avec moi le sac que tu m’as aidé à choisir au magasin l’autre jour. »
Je voudrais pouvoir contester ce que tu dis car, en plus, je ne t’ai vraiment pas aidé à le choisir, mais là c’est compliqué car j’essaie déjà d’assembler toutes les informations que j’ai apprises au cours des 5 dernières minutes. Ça fait bientôt 20 minutes que nous sommes en vol lorsque je te dis un peu préoccupée : « Mais je n’ai pas acheté de cadeau pour elle ».
Tu me caresses le visage tendrement et tu me dis : « Mais tu n’en as pas besoin, le sac est de notre part à tous les deux ».
Tu me prends le menton et ajoutes : « Tout va bien se passer, n’angoisse pas »
Je t’embrasse passionnément car j’adore ta passion tendre autant que j’aime ta tendresse passionnée. Quand nos langues ont arrêté de jouer, tu as mis ma main sur la bosse qui se dessinait sous ton pantalon et j’ai compris que, peut-être, nous n’arriverons pas à être sages jusqu’à destination. Je regarde devant et derrière, il devait y avoir une cinquantaine d’autres passagers. Quant aux hôtesses de l’air, elles avaient l’air débordées par deux enfants au fond. Nous étions à la rangée numéro 8, je te chuchote en me levant de venir me rejoindre dans cinq minutes dans les toilettes de l’avant, celles de gauche, dès qu’elles seront à nouveau « Disponibles ».
Je rentre dans les toilettes, inspecte l’endroit et me rends compte que c’est vraiment exigu, mais je pense que ça fera l’affaire pour au moins nous permettre de calmer notre soif à tous les deux. J’enlève la sécurité pour que tu puisses voir que les toilettes étaient « Disponibles » et venir me rejoindre, en priant que personne d’autre ne le voit avant toi.

Je me cale et m’assois sur la partie qui faisait office de lavabo et quand tu rentres on referme la porte aussitôt. Tu écartes mes jambes et te colles à moi, on s’embrasse fougueusement, comme si une flamme très brûlante nous consumait de l’intérieur et qu’on ne pouvait éviter. Tu me fais me remettre debout, il y a eu quelques turbulences et tu as instinctivement mis tes bras autour de moi comme pour me protéger du danger. Je me suis laissée faire, contente de me retrouver en sécurité dans tes bras. Au bout d’une vingtaine de secondes, ça s’est calmé et nous avons repris là où on s’était arrêtés. Tu baisses un peu mon pantalon et tu commences à me doigter, je sens dans ton pantalon le résultat du plaisir que tu éprouves en me sentant devenir de plus en plus mouillée à cause de toi. Je te lèche entre le cou et l’oreille et je descends ma main jusqu’à toucher ton sexe. J’ouvre ta braguette quand, tout à coup, on entend quelqu’un toquer à la porte. J’indique à haute voix : « C’est occupé », mais la personne insiste. Nous nous rhabillons rapidement et nous nous embrassons avant de sortir, d’abord c’est moi qui suis sortie puis toi, même pas 5 secondes après. La fille qui nous avait interrompus au moment le plus ardent devait être plus jeune que nous et ne semblait pas choquée de nous voir sortir ensemble, je crois qu’elle était trop pressée au point de s’en foutre de tout. 

Nous avons croisé en chemin une hôtesse de l’air qui nous a regardé de façon soupçonneuse, sûrement parce qu’on venait main dans la main depuis le devant de l’appareil ce qui laissait peu de possibilités, mais elle n’avait aucune preuve, alors nous nous sommes assis à nouveau dans nos sièges comme si de rien n’était. Ça ne faisait que quelques minutes que nous étions assis quand tu me demandes de but en blanc : « Est-ce que ça te dérange de connaître ma sœur ? »
Je te réponds : « Pas du tout, c’est même tout le contraire, ça me fait très plaisir »
Tu me racontes qu’elle a deux filles et qu’elles sont adorables, je souris car je suis ravie et j’ai hâte de rencontrer tout ce petit monde.
Nous sommes parmi les premiers à descendre de l’avion, tu m’apprends que tu avais enregistré une valise en soute alors, nous allons la récupérer. Avec, nous nous dirigeons vers la sortie de l’aéroport quand on croise une fille élancée, brune avec des boucles discrètes qui encadrent son visage, des yeux bleus un peu plus foncés que les tiens et vous vous prenez dans les bras. Tu me prends par la main et tu me la présentes, je suis ravie de faire sa connaissance et nous montons dans sa voiture. Vous avez parlé et rigolé pendant tout le trajet, quand elle sourit je vois qu’elle a le même sourire sincère et les mêmes fossettes que toi. Arrivés chez elle, ses filles courent vers toi et se jettent à ton cou, surtout la plus âgée. Tu me les présentes et ta sœur nous montre la chambre que nous occuperons, elle est juste à côté de la sienne et en face de celle de tes nièces. Pendant que tu es dans la salle de bain, ta sœur et moi faisons plus ample connaissance au salon tout en jouant à la dînette avec les filles. Au milieu du salon, il y avait un didgeridoo et elle m’explique que c’est un souvenir de quand elle habitait en Australie. Nous parlons voyage, langues et bien sûr nous parlons de toi. Elle me montre des photos d’enfance avec vos parents et quand tu passes le pas de la porte, tu lui donnes le sac et lui dis « Joyeux anniversaire Frite », je me demande pourquoi ce surnom, mais je n’ose pas interrompre ce moment où je découvrais encore une autre facette de toi. Avec ta sœur, tu es tendre et il y a une telle complicité entre vous qui ne peut exister qu’entre deux personnes ayant grandi ensemble et qui partagent plein de souvenirs et points communs. Elle nous remercie tous les deux et nous demande comment nous avons fait connaissance. Je te regarde pendant que tu lui racontes que nous nous sommes connus sur un tchat si on est vraiment pointilleux, mais que pour toi, c’est plutôt au téléphone que se situe notre rencontre. Nous passons le restant de la journée avec ta sœur et tes nièces, on visite les alentours de chez elles où malgré le fait d’être proche du centre-ville, il y a beaucoup de végétation. Pour finir nous allons tous au parc nous promener. Tu étais le plus doux des tontons et tu m’étonnais à chaque instant, mais j’avais appris à te connaître et au fond de ton regard, il y avait un volcan en attente d’être réveillé quand nous serons seuls tous les deux. Quand nous sommes rentrés de notre grande balade, ton beau-frère était là et j’ai pu faire sa connaissance pendant le dîner. Après manger, nous sommes allés prendre chacun une douche et avons sagement regagnés notre chambre. Là, tu as mis un short, moi j’ai mis un string et un long t-shirt qui couvrait jusqu’à la moitié de mes fesses. Nous avons chacun commencé à lire, nous étions dos contre dos et c’était un sentiment incroyable que de te sentir là, alors que chacun de nous était dans son monde. Quelques instants plus tard, tu t’es rendu aux toilettes. Au bout d’une dizaine de minutes j’ai cru entendre ta voix à travers la porte alors je me lève et l’entrebâille afin de voir ce qui se passe. Je t’aperçois dans la chambre de tes nièces, assis par terre, en train de leur lire une histoire. En entendant la fin de celle-ci, je comprends que tu leur lisais « Y a-t-il des ours en Afrique? » et je souris. Je te regarde avec une tendresse infinie alors que tu leurs dis de faire de beaux rêves, tu ne le sais pas, mais j’aimerais tellement venir te prendre dans mes bras, si seulement ma tenue était plus adéquate. Je ferme la porte et me recouche. Tu arrives et tu me demandes si je suis fatiguée, je te dis que pas trop et tu me promets que demain on va bien plus s’amuser. Je te crois même si j’ai passé une excellente journée aujourd’hui. Une petite heure plus tard, nous éteignons la lumière, tu me questionnes sur ce que j’ai pensé de tout le monde, je te dis que je les trouve tous adorables et que je suis contente que tu me laisses te découvrir différemment. On se couche, tu viens derrière moi et me demandes si je suis bien, là, à cet instant précis. Alors que tu caresses mes bras et que tu sens l’odeur de mes cheveux, je te dis que je ne pourrais pas être mieux car je porte le sourire que tu m’as offert. Tu me demandes si je suis sûre de ne pas pouvoir sourire encore plus. J’allais te demander de quoi tu parlais quand j’ai senti que tu mordillais mon oreille. Tu passes l’une de tes mains vers le devant de mon corps, avec le bout de tes doigts tu pinces mon sein et tu caresses mes hanches. Je me mords la lèvre et tu le perçois, alors tu me donnes ton coussin et me dis de le mordre pour ne pas crier trop fort parce que tu as envie de me donner beaucoup de plaisir en me faisant l’amour. Tu caresses mes cheveux et tu lèches mon cou doucement, je sens mon entrejambe de plus en plus moite et douloureuse tellement j’ai envie de toi. Mes tétons sont durs et je sens avec mes fesses que ce n’est pas du tout la seule chose qui est dure en ce moment. Tu enlèves ton short et colles ton sexe contre moi, tu m’embrasses dans le dos, mets mon string de côté et me pénètres doucement, comme jamais auparavant. Pendant qu’on le fait, tu me tiens la main, me dévorant tendrement. Tu bouges en moi et je me laisse envahir de toute cette passion, de ce plaisir, de cet amour qui me parcourt entièrement. J’explose alors que tu me susurrais à l’oreille : « Encore, encore » et je te sens exploser en moi quelques secondes plus tard. Tu me serres dans tes bras, fort, appuies ta tête contre la mienne et me fais un bisou dans le cou. Après quelques minutes, nous nous nettoyons, et je te dis que c’était différent mais que j’ai adoré. Tu m’assures que toi aussi et on s’endort dans les bras l’un de l’autre, en nous sentant très bien tous les deux.

Au réveil, je me rends compte que tu n’es plus dans le lit à côté de moi, je vais prendre ma douche et quand j’en sors habillée et prête à commencer cette nouvelle journée, je te vois avec le mari de ta sœur préparer les assiettes pour le petit déjeuner. Dès que tu m’aperçois, tu me dis de m’asseoir avec les filles, que vous avez presque fini. Deux minutes plus tard, vous arrivez avec deux grandes assiettes remplies de churros et du chocolat chaud épais. Tes nièces, ta sœur et moi sommes toutes heureuses, on en mange, on rigole et, bien sûr, on s’en met partout, moi un peu plus qu’elles. Tu m’aides à m’essuyer, mais pas avant d’avoir immortalisé ce moment ! J’apprends à table que toi et moi partirons dans quelques heures vers une autre ville pour le restant du week-end, cela fait partie de la surprise. Au moment de dire au revoir à ta sœur, elle me dit qu’elle a beaucoup aimé me rencontrer, je lui retourne la pareille. Elle m’apprend qu’elle rentre souvent rendre visite à vos parents et qu’elle est certaine qu’on se reverra bientôt. Je la remercie pour son hospitalité et sa joie partagée. Les rencontrer m’a permis de mieux te connaître.

On monte dans la voiture qui nous attend devant la porte. Quand nous arrivons, 45 minutes plus tard, à cette maison rurale un peu isolée de tout, je reste déconcertée. Nous allons rater tous ces chouettes endroits qu’on aurait pu visiter pour être au milieu de la cambrousse ? On descend avec nos quelques bagages et on venait de rentrer dans la maison quand tu m’expliques qu’en fait nous sommes ici pour passer un week-end où plaisir et volupté se mélangeraient jusqu’à ce que l’on n’en puisse plus. J’avais hâte de savoir de quoi tu parlais mais, dans tous les cas, le fait de ne pas voir les tableaux de El Greco ne me dérangeait subitement plus. Je découvre notre chambre et ce que je vois me fait mouiller et me laisse sans voix…

(La suite de cette histoire est à découvrir la semaine prochaine 😈)

9 commentaires sur “Acte VIII : Quand un week-end anodin devient mémorable (Partie 1)

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  1. Très sympa cette escapade et je suis impatient de savoir ce que cette chambre réserve comme surprise !

    1. Cher Cheloumi,

      Merci pour ton commentaire.
      Prépare-toi à être surpris ! 😈

      Bien à toi,

      Lady Annia

  2. Lady Annia je vous remercie.
    J’ai beaucoup aimé celle d’aujourd’hui remplie d’amour et tendresse.
    Hâte de savoir ce que vous avez découvert dans la chambre !?!
    Votre tout devoué

  3. Cher Yann,

    Merci à toi de me lire !
    Tu vas surement être surpris quand j’en parlerai la semaine prochaine…

    Bien à toi,

    Lady Annia

  4. Histoire chaude comme les autres, mais remplie d’amour.
    J’aimerais trouver une relation semblable, un jour.
    Merci Lady Annia!!!

    1. Cher Erick,

      Tu as raison, c’est une histoire d’amour aussi.
      Je te souhaite de trouver ton bonheur dans le long chemin de la vie…

      Bien à toi,

      Lady Annia

  5. Bonjour Lady Annia,
    j’ai lu ce récit, il y a déjà quelques jours et ce texte m’a énormément excité. Je profite aujourd’hui de laisser un petit message et venir lire la suite (ouiiii, beau suspense).
    J’adore la relation entre eux, la manière dont ils se taquinent.
    Lorsqu’elle est un petit peu paniquée, il arrive à la rassurer en étant proche d’elle usant de mots doux et coquins, je trouve cela très beau.
    Très belle scène dans la chambre. Trop excitant ta manière de la décrire, cela procure un effet très sensuelle. Le plaisir, la passion, le partage entre eux, c’est superbe.
    Merci pour tout tes beaux récits,
    Bisous
    Orgasmic Boy

    1. Cher Orgasmic Boy,

      Je suis ravie que cette histoire te plaise.
      Leur relation en dehors de la sexualité me paraît importante car je pense que plus on a une relation épanouie, plus cela se ressent au lit (ou au canapé, contre le mur, etc.)
      Pour les mots doux et coquins tu as raison, il ne faut pas oublier que leur histoire ne serait rien sans l’amour et la complicité qu’ils partagent.
      Merci de me dire chaque semaine ce que tu penses de mes histoires dans le détail, tu me fais souvent les regarder depuis un autre angle !

      Bien à toi,

      Lady Annia

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par Anders Noren.

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