Acte III : Quand les flammes deviennent joueuses

Je crois que je vais devoir me résoudre à prendre un cachet pour la douleur, car elle est vraiment insupportable au réveil. Il y a trois jours, je me suis fait une entorse à la cheville gauche en marchant avec des talons hauts sur des pavés en ville.

Je suis habillée avec un short noir d’intérieur et un t-shirt rose délavé avec des fleurs. Je me sers un verre d’eau et avale un antidouleur en pensant au grand besoin que j’ai de prendre une bonne douche. 

Tu m’appelles comme tous les jours depuis notre rencontre d’il y a bientôt une semaine pour prendre de mes nouvelles et je te taquine sur le fait que je pensais à toi, à ta langue qui me rend folle de plaisir et à ton sourire qui réchauffe mon cœur… juste avant de coincer mon talon entre deux pavés sans vraiment m’en rendre compte. 
Je te dis : « Te rends-tu compte de la honte que j’ai sentie, étalée par terre avec ma petite robe noire ? »
Tu me réponds : « Hummmm, une petite robe noire, avec ou sans bretelles ? »
Je te dis : « Sans » 
Tu réponds : « Sexy ! »
Je te rétorque : « Mais l’information intéressante est que je pensais à ta queue, ta langue et tes mains sur moi… »
Tu rigoles, mais je sens dans ta voix que ça te fait plaisir et ça me fait plaisir aussi.
Tu me demandes : « Aimerais-tu qu’un infirmier sexy prenne soin de toi ? »
Je te réponds que j’aimerais bien, mais que malheureusement, je n’en connais aucun. J’entends alors : « Heinnnn ! et moi ? » 
J’adore te taquiner, mais j’aime encore plus que tu aies du répondant, ce qui me fait avoir un énorme sourire malgré la douleur.

Je te dis que non, je ne veux voir personne, pas par manque d’envie, mais parce que je suis sale, car je n’arrive même pas à rentrer toute seule dans ma baignoire dans l’état où est ma cheville. Et même si on laissait ce point de côté, je porte les mêmes habits depuis deux jours, alors oublie ! Tu me dis que tu veux juste prendre soin de moi, que tout ça, tu ne t’en préoccupes pas et tu deviens alors étonnamment joueur : « On fait un jeu. Si j’arrive à trouver ton adresse, tu me laisses venir. »
Ça m’excite de te sentir joueur. Je sais qu’on est encore en train de faire connaissance de ce côté-là, mais je suis joueuse moi aussi. 
Tu me dis : « Cap ou pas cap ? »
Tu ne le sais pas, mais tu as déjà gagné et je viens de décider que je veux que tu sois mon « repas » ce soir.
Je te dis : « Cap ! »
On raccroche et je commence par t’envoyer deux photos prises depuis deux fenêtres différentes de chez moi. Pour trouver le numéro de mon immeuble, je te demande de multiplier le nombre d’orgasmes que j’ai eus la dernière fois avec le prix payé pour les boissons au bar arrondi vers le haut. Quant à la rue, je te dis que ça correspond au nom de la chaîne de montagnes dans laquelle se situe le Mont-Blanc.
Tu me réponds au bout de quelques minutes : « C’est trop compliqué, j’abandonne. »
Je ne dis rien, mais je suis déçue, je t’aurais cru plus compétiteur. J’aurais aimé passer du temps avec toi et pourquoi le nier ? J’avais aussi envie de toi !

Je regarde dans le frigo où il n’y a plus grand-chose, alors je sors une salade toute prête qui n’a plus l’air très bonne vu la couleur et j’en mange un peu avec une certaine méfiance pendant que je fais mes courses sur internet.

Quand j’ai fini la commande, je suis bien contente car ils vont m’apporter mes achats dans seulement une heure… et mon ventre est bien content également car ce sont des choses faciles à faire et que j’adore ! Je regarde une série comique sur Netflix et le temps passe super vite lorsque mon interphone sonne. Je marche comme je peux, c’est-à-dire très difficilement pour y répondre, mais quand je demande : « Qui est là ? », je n’entends personne ! Je me dis qu’il ne doit à nouveau plus fonctionner. Je presse alors le bouton pour ouvrir la porte du bas et j’ouvre en même temps la porte de mon appartement, car le livreur ne va pas mettre longtemps pour arriver, me trouvant au 2ème étage. J’entends des pas et là, je vois en premier un beau bouquet de fleurs roses qui me surprend car je n’ai commandé que de quoi me préparer à manger. Puis, tu l’as descendu et j’ai vu ton visage, découvrant ton énorme sourire et tes yeux pétillants. Je fais semblant de vouloir te fermer la porte à la figure, mais tu es bien plus rapide que moi et tu mets ton pied dans l’entrebâillement de la porte et au même moment tu me dis : « Quelqu’un a demandé un infirmier par ici, signorina ? ». C’est à ce moment que je commence à sentir un parfum autre que le tien, venant d’ailleurs, un parfum qui me donnait faim. Tu m’as alors montré le sac de nourriture chinoise dans tes mains. Tu m’expliques m’avoir cherchée sur les réseaux sociaux et avoir vu que j’avais liké plusieurs restaurants chinois. Je rigole et te dis que tu es un VRAI petit stalker ! Tu plaides coupable, je te laisse rentrer et au même moment, tu me salues avec un sensuel baiser sur la bouche.

Tu me demandes où sont les vases et je te dis qu’à la cuisine, j’en ai quelques-uns. Tu survoles du regard tout mon salon tout en me demandant où est la cuisine. Je te dis que je vais t’y accompagner et tu me tends alors ton bras et je m’y accroche.

Tu m’aides à faire quelques pas, on a failli tomber plusieurs fois, on rigolebeaucoup, je me sens vraiment bien avec toi. On arrive à la cuisine et tu aperçois des fleurs sur le plan de travail. Je t’explique que j’avais essayé de mettre de l’eau tôt ce matin, mais que j’ai été distraite et que j’ai oublié de le faire. Tu me demandes qui me les a envoyées ce qui me surprend et je ressens une pointe de jalousie dans ta question. Je te dis que c’est moi-même qui les ai achetées, ton visage devient alors à nouveau doux, tu me regardes et me dis : « Ah d’accord ». Tu prends un vase que tu remplis d’eau, le poses sur la table basse du salon et tu me demandes si j’ai faim tout en regardant la salade entamée à côté de mon ordinateur. Je te réponds que ouiiii, je crève de faim. Tu me dis : « Assieds-toi, je m’occupe de tout ». Tu nous sers à manger et pendant qu’on mange, tu me racontes que, quand tu m’as appelée, tu étais déjà en chemin vers la ville où j’habite car tu t’étais réveillé ayant très envie de me voir toi aussi. Je te dis : « Moi aussi ? » et tu m’expliques que tu as conscience que les pistes que je t’ai données pour trouver mon adresse étaient beaucoup trop faciles, ce qui voulait dire que j’avais moi aussi envie de te voir… je te réponds que c’était vrai tout en t’embrassant et titillant ta langue avec la mienne. Après avoir fini de manger, tu prends les assiettes et les laisses de côté. Tu me prends dans tes bras sur le canapé, me fais des bisous dans le cou et je m’endors sans même m’en rendre compte. A mon réveil, je ne sais même pas combien de temps j’ai passé dans tes bras, mais la première chose que je vois c’est toi, caressant mes cheveux avec un air attendri. Je m’excuse d’avoir un peu bavé sur ton t-shirt et tu me dis qu’il n’y a pas de souci, mais que tu préfères sentir ma salive ailleurs… Tu me demandes de voir ma cheville, alors je te la montre et tu la caresses. Rien de mal en soi, mais ça me rend un peu nerveuse. Tu ouvres grand tes bras et on se couche l’un contre l’autre en regardant un film qui passait à la télé.

Tu poses ta main sur ma cuisse et commences à la remonter doucement, mais je la retiens et te dis un peu gênée : « Je te rappelle que je suis toute sale ! ». Tu me regardes et je lis dans ton regard que ça t’importe peu. Au contraire, tu me surprends en me demandant : « Tu aimerais prendre un bain ? ». Je te dis oui sans hésiter ! Dix minutes plus tard, j’entends : « C’est prêt princesse ». Je te dis que je ne suis pas une princesse et, un peu surpris de mes revendications, tu m’as dit : « Aujourd’hui en tout cas si ». J’arrive à la salle de bain et trouve quelques bougies qui sentent bon. Je regarde tes mains, tu as enfilé un gant de douche à ta main gauche. Tu m’expliques que tu vas vraiment m’aider et je comprends que tu vas me savonner et ça me fait vraiment plaisir ! Je commence par enlever mon t-shirt sous lequel il n’y a rien. Mes tétons pointent et je sens que ça t’excite un peu. Je les couvre en te disant que c’est le froid ! Tu n’entends plus rien et tu te passes ta langue sur tes lèvres. J’enlève ensuite mon short, puis mon string et quand j’enlève ce dernier, je sens que je rougis car tu commences à me regarder comme si j’étais de la nourriture, de la bonne nourriture, celle que tu veux manger lentement pour pouvoir la déguster. Tu m’aides à rentrer en faisant attention à ma cheville, tu m’allonges et je me retrouve sous la mousse. Tu te mets sur les genoux en dehors de la baignoire et avec le gant tu commences à caresser ma poitrine. D’abord mon sein gauche assez sagement, puis le droit en me regardant la bouche entrouverte et passant ton doigt sur mon téton pour sentir qu’il est bien dur. Tu te reprends et continues avec la tâche que tu t’es toi-même donnée, continuant de haut en bas à me savonner avec soin et douceur. Quand tu arrives au niveau de mes chevilles, tu touches presque du bout des doigts celle avec l’entorse et tu lui fais un bisou. Tu me demandes si j’ai mal et je te réponds que oui, même si ton bisou me fait beaucoup de bien.

Juste après, tu me dis de me relaxer, alors tu mets sur ton téléphone une chanson que je ne connais pas, mais qui est bien sensuelle et me plaît. J’allais te demander son nom et au même moment tu me dis « Jewels » de Black Atlass et tu me fais un clin d’œil en me disant de ne penser à rien. C’est tellement difficile de ne penser à rien, alors je ferme les yeux pour essayer de vraiment me relaxer.

Je commence à sentir ta main sur mon cou, puis sur ma poitrine. Tu as mis mon téton gauche entre deux de tes doigts et tu t’amuses à le rendre encore plus dur. Je ne le voyais pas, car j’avais encore les yeux fermés, mais je t’imaginais profiter du spectacle. Après tu me caressais le ventre et sans que je m’en rende compte tu as touché mon sexe du bout des doigts. Tu as commencé à insérer un, puis deux doigts et je me demandais si je voulais voir ce qui se passait et profiter du spectacle ou juste me laisser envahir par le plaisir. Ma respiration s’accélère, je te sens sourire et je ne peux pas m’empêcher de gémir. Je sens que tu t’approches de mon visage pour m’embrasser tout en me doigtant de plus en plus fort.
Tu t’arrêtes après mon premier orgasme et tu te déshabilles. Tu rentres dans la baignoire et t’assieds derrière moi. Je sens ton sexe en érection contre mon dos, tu caresses mes seins, les presses, puis je me retourne en faisant bien attention à ma cheville et t’embrasse. Tu prends ma main et tu l’amènes jusqu’à ton sexe. Je ne me fais pas prier et à mon tour, je commence à masturber ton sexe déjà bien tendu, avec délectation, de plus en plus vite. J’aime voir le concentré de plaisir en expressions sur ton visage. Je sens en ce moment ton pénis avoir une sensibilité à fleur de peau, alors je te dis de te lever. Tu t’exécutes sans rien demander et je mets ton sexe dans ma bouche comme si c’était sa place naturelle. Je me tiens de mes deux mains à tes fesses que j’adore et j’accueille au bout de quelques instants tout ton plaisir dans ma bouche.

Je l’avale et lèche le surplus qui est resté sur mes lèvres. Tu me regardes depuis où tu es et tu as les yeux qui brillent. Tu m’aides à me lever, puis tu sors de la baignoire avant moi pour m’aider à sortir. Tu essaies de la même façon que tu m’as aidée à rentrer, mais ça glisse trop, alors tu me portes dans tes bras, mets une serviette par terre et me poses dessus. J’aime voir ton sexe encore en érection, même si j’essaie de me concentrer pour bien me sécher sans me casser la figure. Tu te mets derrière moi et passes la serviette avec laquelle tu te séchais entre mes fesses et tu me dis : « Il ne faudrait pas oublier de sécher là ». Je me mords le côté droit de la lèvre sans m’en rendre compte tout de suite, mais je me reprends rapidement. Je me demande comment rester de marbre avec toi en train de me regarder comme ça, en plus de vouloir me sécher ces « endroits stratégiques ». Je suis contente que tu ne descendes pas sécher mon vagin car, oui je suis mouillée, mais ce n’est plus à cause du bain…

J’enfile mon peignoir et tu prends un linge que tu mets autour de ta ceinture. Tu me prends dans tes bras jusqu’au salon et me poses sur le canapé. Là tu me regardes avec un air sérieux qui me rend nerveuse et tu me demandes si j’ai déjà regardé le film que tu m’avais recommandé au début de nos conversations téléphoniques. Je te demande quelle langue tu parles et tu comprends donc que je ne l’ai pas vu… Tu le cherches sur Netflix et heureusement il y est. Tu le lances et te colles à moi et je pose mes jambes sur toi. Je te demande si tu vas vraiment rester habillé juste avec ce linge et tu me dis que oui, que tu n’as pas du tout froid et que si ça arrive, tu te blottiras contre mon corps toujours chaud. Ça fait à peine une minute trente que le film a commencé et je sais déjà que tu m’intéresses bien plus que ce film. De façon presque innocente, j’ouvre avec mon pied droit ton linge et commence à caresser ton sexe endormi avec la plante de mon pied, puis avec mes orteils.

Tu me regardes d’un air mi-sévère, mi-amusé, et tu me demandes ce que je fais. Je te dis : « Rien », en souriant innocemment, alors que je continue à te caresser. Tu remontes mon peignoir pour voir mes jambes et mon sexe humide. Je sens ta queue se tendre, tu n’as plus l’air amusé, je n’ai plus l’air innocente et je commence à me caresser le clito devant toi. Tu arrêtes le film, éteins la télé, t’agenouilles par terre et commences à me manger avec envie. Tu mets mes jambes sur tes épaules et quand tu touches ma jambe gauche, je crie de douleur. Tu comprends immédiatement pourquoi et tu t’excuses. Je ne prends même pas le temps de te répondre et j’enfonce ton visage entre mes cuisses. J’ai les larmes aux yeux, de plaisir cette fois-ci et tu me fais arriver à l’orgasme de façon très puissante avec ta langue. Tu me prends dans tes bras, je défais le peignoir, tu me mets par terre sur le tapis et je te sens sans contrôle, animal et ça me plait beaucoup. Tu commences à me prendre fort, je gémis, je me sens tellement mouillée. Je t’entends crier à ton tour. J’ai mal à la cheville, mais je ne veux pas que ça s’arrête, alors je ne dis rien et on continue cette danse endiablée. Tu me tiens les mains alors que tu me prends de plus en plus fort. Je hurle et ça sort de mes entrailles. Je tourne la tête dans tous les sens tellement j’adore le plaisir que tu m’offres. J’ai un premier orgasme et assez rapidement le deuxième alors que je te sens jouir au fond de moi. Tu me prends dans tes bras et on s’embrasse. Je crie de douleur et tu te lèves immédiatement, tu me demandes ce que tu peux faire pour me soulager. Je te réponds : « Des glaçons ! » alors tu cours vers la cuisine et reviens avec un paquet de petits pois congelés qui feront très bien l’affaire et que tu poses sur ma cheville. Je grimace au début, puis petit à petit ça va mieux. Tu me caresses les cheveux et me demandes comment m’aider à avoir moins mal ou à me sentir mieux.

Je te dis que pour avoir moins mal, les petits pois congelés c’est un bon début mais que, par contre, pour me sentir mieux, il y a peut-être quelque chose que tu peux faire… 
Je te dis : « J’adore les massages et ça fait quelque temps que personne ne m’en a fait »
Tu me regardes l’air complice et me dis : « Je suis bien ton infirmier non ? et puis bon, te masser tout le corps avec mes mains ça n’est pas vraiment un calvaire. D’ailleurs, ce massage, c’est pour te sentir mieux toi ou moi ? » Tu éclates de rire et me dis : « Tu veux qu’on aille dans ton lit ? » 
Je te dis que oui et tu m’emmènes, moi toute nue et mon sac de petits pois, sur mon lit. Tu sors l’huile de massage à la fraise du tiroir que je t’indique et tu commences à en mettre tout le long de ma colonne vertébrale. Je ne me rappelais pas qu’il était si froid, mais au contact de ta peau il se réchauffe. Tu me masses comme jamais on me l’avait fait, t’appliques au maximum, essaies vraiment de me faire du bien, et ça me fait soupirer de plaisir, mais différemment de quand tu me fais du bien ailleurs… Tu évites mes fesses et ça me désole un peu, mais tu sais rapidement te rattraper et me masses aussi les jambes. Je trouve ça sexy, ta façon de les caresser me plaît énormément. Tu t’arrêtes et j’entends que tu ouvres la porte de ma chambre. Je te demande si tout va bien et tu me dis : « oui oui, attends, ne sois pas trop impatiente ». Je t’entends aller rapidement jusqu’au salon et revenir. J’entends le bruit d’un sac plastique et te dis en rigolant : « tu vas me tuer ? » et tu me réponds : « T’es bête ! mais non, j’ai encore un petit cadeau pour toi » et tu me donnes une boîte de chocolats venant de la même chocolaterie que celle que je t’ai offerte une semaine plus tôt et tu ajoutes : « mais au lait car je sais que tu les préfères ! ». Je t’en propose un et tu acceptes en le prenant directement de la boîte.

Je t’embrasse pour te remercier et tu me dis d’arrêter, car tu es déjà assez dur, mais comme je ne sais pas m’arrêter, ma langue joue avec la tienne et tu me dis : « tu vas voir toi ! ». En même temps que je vois ton sexe bien en érection, je me passe la langue sur les lèvres en signe d’envie. Tu me dis de ne pas bouger et à ce moment même, je me sens assez obéissante alors je me recouche exactement comme avant et j’attends la suite de ton petit massage saint. Tu commences à écrire quelque chose sur mon dos avec tes doigts, mais je n’arrive pas à trop comprendre quoi. Je me détends de plus en plus, je crois que je vais finalement m’endormir quand je commence à ressentir du plaisir. Je prends un peu de temps pour comprendre que tu es en train de me lécher les fesses, je gémis et t’entends me dire que le chocolat est trop bon. C’est à ce moment que je saisis que tu as mis le chocolat sur mes fesses, attendant qu’il fonde au maximum et que là tu as commencé à me lécher, en écartant mes fesses et en gémissant à ton tour. Je me demande ce que tu as en tête après ça. Comme si tu avais lu dans mes pensées, tu me dis que tu as encore très envie de moi, mais que « lui » a besoin de repos avant de reprendre. Je comprends assez vite que j’ai épuisé ton pénis et te demande si pendant ce repos, tu aimerais perdre contre moi lors d’une partie de Mario Kart. Tu rigoles et me dis : « Impossible ! Même quand j’essaie de perdre à ce jeu, je finis toujours par gagner ». Je te dis que les choses vont changer aujourd’hui. Tu m’embrasses et me prends dans tes bras. Au salon, on commence une partie de Mario Kart qui ne durera que le temps du repos, car j’ai encore très envie de toi !

10 commentaires sur “Acte III : Quand les flammes deviennent joueuses

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    1. Cher Maxime,

      Je suis contente que tu adores et en même-temps, je te remercie d’être fan de mes histoires !

      Bien à toi,

      Lady Annia

    1. Cher Al,

      Je t’en prie, je suis ravie que mon histoire te plaise ou tout du moins
      aie une certaine incidence sur ton moment présent.
      Bonne douche !

      Bien à toi,

      Lady Annia

  1. Bonjour Lady Annia,

    merci pour cette belle suite que j’ai adoré. Ce texte est très sensuelle, j’apprécie toujours ta manière de faire monter le désirs, cette sensation de plaisir qui augmente petit à petit. Quel belle scène excitante dans le bain, cela a vite fait effet sur moi ;). J’aime ce mélange entre le coté « douceur » et « sauvage »,
    Je me réjouit déjà de découvrir la suite de cette belle histoire.

    1. Cher Orgasmik Boy,

      Tout d’abord je te félicite, cette semaine tu as réussi à écrire ton pseudo sans accroches 😉
      Je suis vraiment ravie que tu trouves la suite à ton goût, chaque semaine j’essaie de mieux réussir à retranscrire mes idées en mots pour vous !

      À mercredi prochain.

      Bien à toi,

      Lady Annia

  2. Chère Lady Annia,

    Le fantasme de l’infirmière où les rôles sont inversés, j’aime beaucoup l’idée et je dois dire que la souffrante cache bien son jeu. Merci et j’attends la suite avec impatience !

    1. Cher Michel,

      Je suis ravie que ça t’ait plu !
      La suite sera prochainement disponible…

      Bien à toi,

      Lady Annia

  3. Une agréable lecture commencée depuis avant-hier, et j’y retrouve ce que j’apprécie tout particulièrement en matière d’écriture, qui plus est quand elle se veut sensuelle voire même érotique.
    De la fluidité. De l’émotion/des émotions. Deux personnes qui accrochent l’une pour l’autre. Des contextes divers et variés.
    Un récit bien agencé et bien écrit.
    Je n’en suis qu’à l’acte III mais j’ai bien envie de poursuivre ce voyage au pays des sens, de la sensualité, de l’érotisme… et du sexe, sur votre blog…
    Continuez!

    1. Cher Plaisir d’écrire,

      Merci infiniment d’avoir donné une chance à mon écriture et d’aimer ce que je fais !

      Je t’invite à poursuivre ce voyage avec moi, où sensualité et érotisme se mélangent avec plein d’autres choses…

      Bien à toi,

      Lady Annia

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par Anders Noren.

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